Ce qui attend les stagiaires dans les gros cabinets d’avocats de divorce
On enregistre chaque année plus de 5 000 étudiants en droit qui passent des stages dans de gros cabinets d’avocats https://www.avocatdivorce.fr/. L’expérience est dure, mais le titre de « maître » ne s’obtient pas aussi aisément.
Comment faire pour accéder à un stage dans un cabinet d’avocat du divorce ?
Généralement, après avoir fini des études en droit https://vos-droits.be/ et obtenu au moins un Master 1 de droit avec une spécialisation en droit de la famille par exemple, l’étudiant peut s’inscrire à l’examen d’entrée au Centre régional de formation professionnelle des avocats (CRFPA). Là, il devra passer des épreuves écrites puis des oraux, dont le Grand Oral. Une fois qu’il a réussi cette épreuve, il peut choisir entre des cabinets d’étude de renom du pays pour y effectuer un stage d’au moins trois mois en fonction de sa taille, sa renommée et sa région d’intervention.
Ce que les grands cabinets d’avocats de divorce les réservent
De nombreux rapports d’études et d’enquêtes ont montré que les stagiaires au sein des cabinets d’études de divorce travaillent dur. En théories, les étudiants doivent effectuer des recherches, établir des notes ou encore rédiger des conclusions. Ce sont des attributions sommaires qui sont très instructives pour une meilleure compréhension des bases de ce métier. Mais une fois qu’ils sont intégrés, ils découvrent une tout autre réalité : travail de nuit, travail sous pression, etc.
Ce n’est effectivement plus étonnant de voir des stagiaires qui travaillent plus de 50 à 75 heures au bureau. Il y en a qui commencent à travailler dès 6 heures du matin le lundi pour n’en finir qu’à 23 heures du soir le dimanche. En plus de ces travaux au bureau, ils doivent également amener certains exercices à traiter chez soi.
Un stage qui présente une gratification plus élevée
Bien que leurs intégrations à ces cabinets leur donnent du fil à retordre, bon nombre d’étudiants et de jeunes avocats apprécient l’expérience. Certains les voient même comme un moyen de tester leurs vocations https://ppk-sav.ch/ et de s’affirmer davantage dans les ficelles du métier. Il est à préciser que le travail dans un cabinet, une fois embauché, ne serait pas moins que ce qu’ils font durant leurs stages. Ces derniers sont alors des étapes qui les aideraient à se confronter à la réalité du métier qu’ils souhaitent exercer.
Qui plus est, les stagiaires sont également très déterminés à cause de la gratification qui les attend. Un stagiaire avocat au sein de ces gros cabinets d’étude peut effectivement prévoir percevoir un salaire d’environ 2 000 euros par mois, bien loin du minimum légal fixé à 577,50 euros. Sans parler des autres petits avantages qu’ils peuvent procurer : manger à l’œil, rentrer en taxi, etc. Pour eux, tous ces efforts ont un but : signer un contrat de collaboration pour exercer comme avocat dans ce cabinet. Bien que de nombreux stagiaires acceptent de travailler dans ces conditions. Toutefois, d’autres préfèrent se tourner vers de plus petites structures https://www.avocats-divorce.fr/, vers une autre spécialité ou décident même de tout lâcher.